Descendants de *Pierre LE COUSTRE
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Huitième génération
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Neuvième génération
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Dixième génération
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Emile Hubert Louis 1911
Gaston Jean Marie 1919 Georges Achille Charles Léon 1897 Georges Louis Maurice 1913 Henri Alphonse Augustin 1917 Hubert Joseph Paul 1921 Hubert Louis Joseph 1907 |
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LECOUTRE Gaston Jean Marie
![]() LECOUTRE Georges Louis Maurice ![]() |
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Georges Louis Maurice, mon grand-père, et Gaston Jean Marie, dans l'ordre de naissance, sont les deux fils de
Louis Jean Marie Augustin LECOUTRE (1865-1955), instituteur,
et de Marthe Céline Marie PLÉ (30 janvier 1868 62447 Hesdin - 1967 62041 Arras).
Il ont deux sœurs aînées, Jeanne Marie née en 1889 décédée à l'âge de trois ans, et
Marthe Denise (1891-1984) (voir les LECOUTRES instituteurs).
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PARENTS
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GRANDS-PARENTS
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![]() Georges Louis Maurice* (1934) *On peut constater la raideur du bras droit blessé à la guerre
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![]() Descendance de *Pierre LE COUSTRE
Pierre • BOULOGNE Jeanne
l Jean • FLAHAUT Nicole l Jean dit LA FONTAINE • CAUDEVELLE Marie l Jean • VASSEUR Isabelle l Philippe • POTTERIE Jeanne l Philippe Laurent • PRUVOST Marie Françoise l Jean François Marie • PERRET Marie Magdeleine Antoinette l Jean Barnabé Grégoire • LORGNIER Marie Louise Augustine l Jean Marie Philibert • PRUD'HOMME Modestine Félicie l Louis Jean Marie Augustin • PLÉ Marthe Céline Marie l ![]() ![]() ![]() ![]() |
Gaston Jean Marie LECOUTRE (1899-1975)
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Cheveux châtains - nez cave
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![]() Service armé Bon absent Appelé le 15 avril 1918 au 162e Regt Infanterie N'a pas rejoint Convoqué par ordre de route le 15 juillet 1918 Déclaré insoumis le 28 juillet 1918 Prisonnier civil; rapatrié à Arques Rayé des contrôles de l'insoumission le 2 avril 1919 Convoqué le 22 avril à la 1e Section de SE.M.R. arrivé au corps le dit jour Passé le 1 Janvier 1920 au 43e Régiment d'Infanterie Passage dans la réserve de l'armée active le 25 mars 1921 Rayé des contrôles le 15-4-21 Dégagé d'obligations militaires le 15 avril 1946 |
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Guerre 1939-1940
Rappelé à l'activité le 2 septembre 1939 au titre de la Trésorerie aux armées, affecté à la 1ère Division d'Infanterie Coloniale
Réformé définitivement le 23 février 1940 |
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Gaston Jean Marie
1889 Il naît le 18 mars 1899 à 62007 Acq où son père est instituteur.
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NAISSANCE
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1918
Appelé le 15 avril 1918 au 162e Regt Infanterie il n'a pas rejoint son corps.
Il est déclaré insoumis le 28 juillet 1918 et fait prisonnier civil, puis rapatrié à 62040 Arques
1919-1921 Il effectue son service militaire, d'abord à la 1ère Section de Secrétaires d'Etat-Major de Réserve en avril 1919, puis au 43e Régiment d'Infanterie de janvier 1920 à mars 1921. En mai 1921 il réside à Arques, rue des écoles (fiche militaire). 1923 Il réside à 62259 Croisilles (fiche militaire).. 1925 Il épouse le 1er décembre 1925 à 62041 Arras Aline Mathilde Léonie Henriette CATILLION (1906-1995), fille de Paul Ernest Joseph CATILLION négociant et de Elise Mathilde Joseph WERBROUCK négociante. Comme on peut le voir dans le recensement de 1911 Aline Mathilde Léonie Henriette CATILLION est la fille des épiciers de Bucquoy (habitant rue Dierville) où le père de Gaston a été instituteur. ![]() |
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MARIAGE
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1929-1938 Ils ont trois filles, Jacqueline Marthe Elise, Madeleine Jeanne Paule et Denise Marthe Paule,
toutes trois nées à Arras (respectivement en 1929, 1930 et 1938)
Dans le recensement de 1936 il habite rue de Saint-Quentin à Arras
avec son épouse et ses deux filles Jacqueline et Madeleine. Il est commis du trésor.
Ils habitent avec ses parents; son père Louis Jean Marie Augustin qui est retraité est nommé Jean (son prénom d'usage était Jean Marie).
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ENFANTS
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1939 Il est rappelé à l'activité militaire au titre de la Trésorerie aux armées, affecté à la 1ère Division d'Infanterie Coloniale.
1975 Il décède le 17 octobre 1975 à Arras à l'âge de 76 ans. |
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DÉCÈS
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Georges Louis Maurice LECOUTRE (1893-1957)
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Cheveux châtains - yeux marron
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![]() Classé 1ère partie de la liste en 1913 Service armé Incorporé au 43e Régiment d'infanterie à compter du 27 novembre 1913 |
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Guerre 1914-1918
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Réformé n°2 par la Commission de réforme de Limoges le 6 juillet 1916 pour demi-ankylose du coude
droit mouvement limités,
suite de bl. de g. (a renoncé aux bénéfices de la blessure de guerre) Rayé des contrôles le 8 juillet 1916. Certificat de bonne conduite accordé. Se retire à Wizernes (P.D.C.) chez Mme Pruvost-Lecoutre Institutrice. Réformé définitif n°1 proposé pour pension permanente (invalidité 50%) pour raideur du coude droit extension limitée de 1/3 pronation conservée, amyotrophie du bras de 2 cm de l'avant bras de 4 cm, suite de séton du coude droit par balle le 2 janvier 1915 consécutif ayant nécessité la ligature de l'humérale
(Don de la Con de Réforme de Saint Omer du 18 novembre 1919)
Citation à l'ordre du régiment le 24 juillet 1916
"soldat énergique et brave grièvement blessé le 2 janvier 1915 face à l'ennemi au cours d'un violent bombardement de nos premières tranchée."
Décorations
Croix de Guerre avec étoile de bronze
Médaille Militaire par décret du 7 octobre 1932 J.O. du 20 octobre 1932 |
Fondé en 1825, à l'origine simple ferme située le long chemin reliant
Minaucourt à Mesnil-les-Hurlus, le village de Beauséjour est pris dans la
tourmente de la Première Guerre mondiale et ses habitants sont évacués le 2
septembre 1914.
Il est le théâtre de combats meurtriers après l'arrêt de la retraite de la Marne le 14 septembre 1914, les Allemands campant sur une ligne comprenant Beau-Séjour. Les soldats français essayeront de reprendre la ferme mais les Allemands avaient organisé et fortifié un lacis de tranchées sur la hauteur, à 1 500 mètres au nord de celle-ci. Cette position formidablement protégée, à laquelle se heurteront les marsouins et fantassins tout au long du premier trimestre de 1915, sera baptisée "Fortin de Beauséjour". Ce bastion sera pris et repris 7 fois entre mi-février et mi-mars 1915. Il y règne une incessante guerre de mines souterraines et d'assauts à la baïonnette, particulièrement meurtriers. Il faudra attendre la grande offensive française de Champagne du 25 septembre 1915 pour que le secteur et la position du "Fortin de Beauséjour" soient enfin dégagés. Le hameau n'a pas été reconstruit après la guerre. Il est aujourd'hui le site de monuments historiques: une stèle à la mémoire des soldats du 3e de Marine ainsi qu'un calvaire entouré des tombes de L. Noyer et A. Gardinier. Beauséjour a connu un regain de notoriété dans la presse en 2006, quand le doyen de la France de l'époque, Maurice Floquet, est décédé à l'âge de 111 ans. Celui-ci avait en effet combattu lors de la bataille du 25 septembre 1915 et survécu malgré de graves blessures reçues lors d'un assaut contre les lignes allemandes. |
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Georges Louis Maurice
1893 Il naît le 28 avril 1893 à 62447 Hesdin.
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NAISSANCE
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vers 1913 Il est instituteur public à 62117 Bertincourt dans sa fiche militaire.
1913 Pour son service militaire il est incorporé le 27 novembre 1913, soldat de 2ème classe, au 43ème régiment d'infanterie. 1914-1916 Il participe à la campagne contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 8 juillet 1916. Blessé le 2 janvier 1915 à Beauséjour (à l'époque hameau de 51368 Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus dans la Marne) par une balle de fusil au coude droit, il est évacué le 27 janvier et rentre au dépôt le 27 mai. Réformé, il est rayé des contrôles le 8 juillet 1916. 1917 est domicilié chez sa sœur Marthe, institutrice à 62902 Wizernes. dans sa fiche militaire. Il épouse le 8 septembre 1917 à 62309 Esquerdes Virginie Eugénie CUVELLIER (1892-1978), institutrice, elle-même fille de Alphonse Constant Joseph CUVELLIER instituteur et de Charlotte Joseph LAINÉ. On notera que Esquerdes est situé à environ 5 kilomètres de Wizernes. |
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MARIAGE
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Enfant naturelle (née hors mariage) fille de Emilie Julie Joseph GUILBERT (1819-1853)
reconnue par son père "Joseph Lainé manouvrier 20 ans demeurant à Blangy" [Valentin Joseph LAINÉ (1828-1907)]
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Contrat de mariage 12 février 1873 Jean Baptiste Dérémetz (1798-1874) notaire à 62719 Rollancourt.
Alphonse Constant Joseph est instituteur domicilié à Blingel. "Joseph LAINÉ", le père de Charlotte Joseph domestique demeurant à 62719 Rollancourt est présent (sa mère est décédée) |
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Ils ont eu deux enfants, Maurice Jules Emile Francis (1919-1998) qui sera pharmacien
et André Alphonse Jean-Marie (1924-1982), mon père, qui sera enseignant, professeur de lettres classiques,
puis chef d'établissement (principal de C.E.S., proviseur de lycée).
1919 Sans doute instituteur à Esquerdes (naissance de son fils Maurice Jules Emile Francis). 1921-1926 Instituteur à 62456 Houchin demeurant 8 rue de la Mairie dans le recensement (et naissance de son fils André Alphonse Jean-Marie en 1924). AD Pas-de-Calais Recensements Houchin
1921 M 4296 page 2
1926 M 4325 page 2
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ENFANTS
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Nommé LECOUCHE dans la table décennale!
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1928 Instituteur à 62724 Rouvroy
Annuaire du Pas-de-Calais 1928.
1957 Il décède le 14 août 1957 à 28150 La Ferté-Villeneuil en Eure-et-Loir à l'âge de 64 ans.
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DÉCÈS
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D'autres information seront ultérieurement ajoutées à partir de sources personnelles.
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